Pascal Jallet - mon père
62 ans - Marié à Régine et Père de ma soeur Aude-Line et moi.
Elu maire de rocamadour depuis 2008, réélu pour son troisième mandat en 2020. Premier magistrat de la commune pendant 12 ans.
A entamé la mue de rocamadour à l’hiver 2009 avec la réfection du Grand Escalier puis le chantier de piétonnisation de l’ensemble de la Cité mariale. Financièrement, le plus grand projet d’urbanisme de ces dernières années dans le Lot pour cette commune de 680 habitants.
Il a initié et mis en place, aux côtés de son équipe municipale, le projet d’envergure de la nouvelle mairie et de la salle des congrès de Rocamadour, afin de développer le tourisme des 4 saisons, qui débutera à l’automne 2020 et des travaux du prochain grand office du tourisme « Rocamadour- vallée de la Dordogne ».
« Il aurait voulu être présent lors de la réalisation de ces édifices structurants pour l’avenir du territoire, il se l’était promis, il nous l’avait promis, comme un défi et il a travaillé jusqu’au bout. Ses équipes lui ont donné l’envie folle d’imaginer le rocamadour de demain, c’est ce qu’ils accomplissent depuis plusieurs années en lui donnant un visage communal empreint de son histoire et résolument moderne. Il nous laisse, en tant qu’amadouriens(nes) un grand héritage ainsi qu’une responsabilité, celle de poursuivre la valorisation de notre patrimoine et de ne jamais renoncer face aux défis qui nous attendent. » JB Jallet
Il était un homme d’une grande simplicité et fidélité. Il savait d’une voix posée, d’une simple parole, sans ambiguïté, rassembler les équipes autour d’une direction commune, de projets concrets. Il était fier de ses équipes municipales, administratives et techniques, il tenait compte des personnalités qui l’entouraient, savait déléguer pour valoriser les appétences de chacune et chacun. Ceci a crée des liens de grande confiance et de fierté au sein des équipes.
Il laisse une trace partout dans Rocamadour, dans le cœur des amadourienne/amadourien. Il entre en mémoire.
Il poursuit son chemin dans le ciel amadourien. Les bâtisseurs de nos campagnes ne meurent jamais.
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